Il reste maintenant à travailler à la lime, pour dedonner les fourmes anguleuses et arranger la surface.
Puis insérer par le dessous la tige de laiton terminée
par une grosse boule à sa base, lui permettant ainsi de
pivoter dans toutes les directions, ce qui est nécessaire au bon
placement de l'ancre dans l'ecubier du navire quand l'ancre est
remonté.
Vooici le résultat avant peinture:
Etape2: le guindeau.
Il est réalisé tout en laiton (tôles
soudées, barreaux usinés au tour pour les tambours, et
tubes pour l'axe)
Il est placé sur un petit socle amovible, ce qui à permi
de faire la mise au point mécanique en dehors de la maquette de
l'Abeille pour ne pas être gêné. Les pièces
en rotation doivent être libre pour ne pas entraver la chaine
lors de la chute des ancres.

Etape3: le mécanisme caché sous le guideau pour le largage des ancres
Comme indiqué plus haut, je voulais ici ici
obtenir un fonctionnement totalement réaliste pour la manoeuvre
des ancres, à savoir:
- une remontée lente, jusqu'au logement dans les écubiers ,
- et un largage brutal (chute libre de l'ancre, entrainée
uniquement par son propre poids, avec debrayage complet du moteur)
Pour cela, j'utilise un servo, qui commande mécaniquement les éléments suivants:
- d'un coté: la fermeture d' un micro switch alimentant le
moteur-reducteur du treuil (qui ne dispose ainsi que d'un seul sens de
rotation, correspondant à la remontée des ancres. Les
tambours d'enroulement des chaine sont en plastique, et peuvent
glisser sur leur axe en cas de blocage de la chaine (pour eviter
toute casse),
- de l'autre coté: le débrayage du pignon
l'entraitement des tambours des chaines, par déplacement de
l'axe d'un pignon de couplage intermédiaire.
La manoeuvre complete requiert donc l'utilisation d'une voie
proportionelle de la radiocommande, mais utilisée en "tout ou
rien"
Voivi le complement d'explication en image. On y voit le servo, le
micro switch, et le pignon noir de couplage entre
moteur-réducteur et l'axe d'enroulement des chaines: